Zusammenfassung
Unserem eigentlichen Thema, der innerfranzösischen Diskussion über Kolonialpolitik und die Zukunft der Kolonien in der Zwischenkriegszeit soll ein kurzer Aufriß der Verwaltungsstruktur vorangestellt werden63.
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Literatur
Aus der umfangreichen Literatur seien genannt: Arthur Girault: Principes de Colonisation et de Législation coloniale, 4. ed. 1921.
Louis Rolland, Pierre Lampué, Précis de droit des pays d’outremer, 1949. P. F. GonideC., Droit d’outre-mer, vol. I, 1959.
Auguste-Raynold Werner, Essai sur la réglementation de la nationalité dans le droit colonial français, 1936.
Eine vollständige Liste der Zahl der Citoyens Français (allerdings nicht getrennt nach Bürgern europäischer Herkunft und naturalisierten Eingeborenen) innerhalb der Gesamtbevölkerung gibt für das Jahr 1938 Michel Devèze, La France d’outre-mer, 1948, p. 16. Wir geben einige Beispiele: Guadeloupe 247 000 – 247 000, Martinique 304 000 – 304 000, Franz-Indien 323 000 – 323 000, Algerien 7,2 Mill. — 988 000, AOF 14,9 Mill. — 90 000 (darunter natürlich die Einwohner der vier Gemeinden!), AEF 3,4 Mill. — 5000, Madagaskar 3,7 Mill. -31 000, Indochina 25 Mill. — 42 000.
R. A. Winnacker, Elections in Algeria and the French colonies under the Third RepubliC., in: The American Political Science Review 32/1938. Winnacker macht u. a. darauf aufmerksam, daß das wichtige Amendement Wallon von 1875, das mit nur einer Stimme Mehrheit angenommen worden ist, von 12 der 15 Kolonialabgeordneten gutgeheißen worden ist; ähnlich bei den hart umkämpften Krediten für Tongking 1885: Stimmte das Parlament knapp mit 273 gegen 263 zu, so sprachen sich 15 der 16 Abgeordneten der Kolonien dafür aus, p. 265.
Man beachte, wie der rechtsbürgerliche Paul Reynaud als Rapporteur des Kolonialbudgets am 28. Juni 1935 die Assemblées indochinoises beurteilt hat: Il y a peu à en dire si ce n’est qu’elles ne représentent absolument rien, ni par leur mode de désignation, ni par la compétence de leurs membres. Leur mode de désignation est une tromperie qui engendre les conséquences les plus néfastes. Comment admettre que les conseillers annamites du Conseil colonial de la Cochinchine représentent vraiment la masse de leurs compatriotes (4 millions) alors qu’on sait qu’ils sont élus par un collège électoral de 1.200 à 1.800 électeurs! Pour les éléments français, l’expérience montre que les affaires sont si dures que les quelques éléments pondérés et sérieux ne veulent pas en faire partie (seraient-ils élus, d’ailleurs?) Mais un colon qui n’a pas réussi, a le temps de se présenter à une chambre d’agriculture ou de commerce pour avoir un titre qui lui donnera le moyen de mieux défendre ses intérêts. On sait ce que cela veut dire.” Documentation coloniale conparée 1935 vol. II.
Der 1928 etablierte Grand Conseil des intérêts économiques et financiers Indochinas z. B. zählte 54 Mitglieder; davon waren 31 Franzosen bzw. Citoyens, 11 gewählte und 20 von den Wirtschaftskammern bestellte Vertreter; die 23 Eingeborenen wurden von den lokalen Versammlungen der Einzelstaaten ernannt, also vorwiegend Notabein. Im Grand Conseil von Tunesien standen 1922 sich in zwei getrennten Sektionen 41 Tunesier und 57 Franzosen, bzw. Citoyens gegenüber.
Über die Diskussion vor 1914: Raymond F. Betts, Assimilation and Association in French Colonial Theory 1890–1914, 1961.
Martin Deming Lewis, One Hundred Millionen Frenchmen: the »Assimilation« Theory in French Colonial Policy, in: Comparative Studies in Society and History, IV/1962, 2.
J. Harmand, Domination et Colonisation, 1910. p. 348.
Harmand a.a.O., p. 160.
J. O. Chambre, 21. 12. 1922 p. 4408.
«Nous, noirs français, nous sommes partisans de rester des Français, la France nous ayant donné toutes les libertés et nous confondant sans arrière-pensée avec ses propres enfants européens. Aucun de nous n’aspire à voir l’Afrique française livrée exclusivement aux Africains comme le demandent, sans autorité d’ailleurs, les noirs américains à la tête desquels vous vous placez. Aucune propagande, aucune influence de noirs ou de blancs ne nous enlèvera le sentiment net que la France, seule, est capable de travailler généreusement à l’avancement de la race noire. L’élite noire française, qui a la responsabilité indigène de nos colonies, ne saurait accepter, sans manquer à son nouveau devoir, que les théories de séparatisme et d’émancipation révolutionnaire, auxquelles on donne votre nom, viennent jeter le trouble et le désordre où le calme et l’ordre sont des indispensables facteurs de la sécurité de tous. Cela dit, nous reconnaisssons volontiers, que les conditions sociales qui sont imposées en Amérique aux noirs sont odieuses et que nos protestations sont solidaires des vôtres, aussi bien d’ailleurs que celles de tous les Français blancs, qui ne comprennent pas l’injustice des Américains blancs contre les noirs.» Brief vom 3. Juli 1922, in: Revue Indigène, 1922, p. 275, zit. R. L. Buell, The Native Problem in Africa, 1928, p. 81.
J. O. 28.–30. 1.1930, p. 293.
Vol. I. 108, Anm. 1.
I,109.
I,105–106.
I, 74.
I, 430.
I, 432.
I, 6.
P. 431.
Vol. IV (Algerien). 5. ed. p. 81.
La politique coloniale de la France, 1928, p. 314.
Organisation coloniale, in: La politique coloniale de la France. Conférences organisées par la Société des Anciens Elèves de l’Ecole libre des Sciences Politiques, 1934, p. 167.
P. 170 f.
P. 212.
P. 495.
P. 268.
P. 314.
P. 218.
P. 537, Anm. 1.
Es handelt sich um einen Gesetzesantrag der Regierung vom 24. 11. 1924, der die Naturalisierung administrativer Begutachtung entzogen hätte und automatisch jenen Eingeborenen zukommen ließ, die — unter Verzicht auf ihr Personalstatut — die französische Sprache beherrschten und ein Ausbildungsdiplom, die Ehrenlegion oder eine militärische Auszeichnung vorweisen konnten. Dazu Runner: « Ce projet démagogique, qui vient en grande partie consacrer les revendications de quelques agitateurs indigènes, a soulevé de vives discussions et provoqué de nombreuses critiques, en particulier de la part de M. Sambuc dans un rapport présenté au Comité des jurisconsultes de l’Union coloniale. M. Sambuc dénonce les dangers de ce droit à la naturalisation accordé aux indigènes et dont useront principalement ceux qui ne le feront pas dans un but désintéressé, et il ajoute:: < Nous croyons que l’octroi de la qualité de citoyen français à nos sujets et protégés doit demeurer une faveur, une récompense exceptionelle, subordonnée à la libre et souveraine appréciation de l’autorité supérieure, et qu’il doit appartenir à celle-ci de se montrer plus ou moins libérale dans l’attribution de semblable récompense, selon les conditions de l’organisation et du développement de chaque colonio Dans la chronique coloniale de la Société d’Etudes et d’Informations économiques, un article paru sur ce projet de loi critique principalement le caractère injustifié et trop marqué de faveur et de récompense accordé à cette naturalisation. L’auteur de l’article ajoute: <Le grand reproche à faire à ce projet, c’est qu’il classe les titres des indigènes d’aprés nos idées et non d’après les leurs..., sauf de très rares exceptions individuelles, ces naturalisés automatiques ne seront jamais que de Français des deuxième zone; ce n’est intéressant ni pour eux, ni pour nous.>» P. 40.
P. 136,141 f.
P. 92.
Abgekürzt, aber mit gleichlautenden Formulierungen auch: L’oeuvre coloniale de la France, in: Etudes des Colonisation comparée, éd. Louis Franck, 1924, vol. I.
«Je le répète et je le souligne, c’est un besoin de puissance politique et économique pour la métropole qui est à la base ce cette oeuvre d’expansion. » J. O. Sénat, 27. 2. 1920.
La mise en valeur, p. 101.
«... considérant comme des frères plus jeunes les races qui se sont soumises à sa tutelle, la France les prend par la main, pour les conduire vers un autre avenir; elle les associe non pas seulement au partage des bienfaits, des fruits et des bénéfices, mais aussi aux obligations morales par quoi elles prennent conscience de leurs devoirs vis-à-vis de nous pour la garde et la commune défense du patrimoine solidaire», J. O. Chambre, 2. 7. 1920, p. 2666.
P. 98.
P. 101.
Selbstgefällig hebt Sarraut das bereits Erreichte hervor: «Nous avons largement(!) ouvert les cadres administratifs, les emplois publics, aux auxiliaires indigènes. Nous avons multiplié les organismes représentatifs dans lesquels les populations peuvent par leurs délégués faire entendre leurs voix et s’unir à nous pour administrer le patrimoine commun.» L’oeuvre coloniale, p. 23.
J.O. Sénat, 27. 2. 1920.
P. 126.
Vgl. S. 322.
Sarraut, Grandeur et servitude coloniales, 1931, p. 153.
Sarraut, a.a.O., p. 163.
«Les assemblées représentatives de formes variées que nous avons spontanément instituées ont rendu les services qu’on attendait d’elles. Elles ont joué un rôle éducateur au point de vue politique. Présentement, il est vrai, aucune d’elles n’a le caractère d’assemblée à pouvoir légiférant. Mais elles ne sont pas arrivées au terme d’une évolution elle-même conditionneé par les progrès de l’éducation politique de nos sujets et protégés. Peut-on fixer ce terme? Je me défie beaucoup de certaines individualités bruyantes qui, dans les parages du Quartier Latin, ou, au delà de nos frontières, dans des congrès internationaux, réclament pour leurs compatriotes le total exercice der droits politiques conduisant à une représentation régulière, et, pour leur pays, une Constitution. Ils ne représentent en fait que d’infimes minorités: la masse des indigènes est indifférente à leur agitation et considère que l’heure n’est pas venue des bouleversements préconisés par ces chefs sans partis. Mais si l’heure de parlements coloniaux n’est pas près de sonner, par contre, mon avis formel est que les Assemblées représentatives locales doivent évoluer rapidement vers uns statut plus libéral, notamment au point de vue financier.» Sarraut, a.a.O., p. 164 f.
Ganz ähnlich äußert sich Sarraut auf dem radikalsozialistischen Parteikongress von 1931. Es geht ihm darum, den Parteivertretern die Wichtigkeit und Aktualität kolonialer Fragen vor Augen zu führen, und er nennt auch hier die «contre-offensive des énergies indigènes éveillées par le dynamisme européen... des rumeurs d’orage montent de la multitude des races colonisées». Compte-rendu, p. 356. Eine liberale Politik dränge sich auf, und die Kolonien seien nicht einfach Absatzmärkte, sondern «entités vivantes... des parties solidaires du territoire national que l’on doit... promouvoir au même destin que toutes les parties du continent civilisateur», womit die integrationistische Tendenz zum Ausdruck kommt. Sarraut fordert für die Eingeborenen Zugang zur Administration und die Vertretung in den Repräsentativgremien, warnt aber gleichzeitig eigenartigerweise vor»überstürzten «Reformen: «Nous n’avons pas le droit de donner, du jour au lendemain, à certaines races indigènes, des pouvoirs ou des libertés, dont elles ne sauraient pas se servir.» p. 364. Als ob 1931 die »Gefahr« zu weitgehender Konzession bestanden hätte...
Sarraut schreibt selbst: «Je repousse les systèmes de naturalisation en masse, comme les systèmes de self-government ou de suffrage universel conféré collectivement aux populations indigènes.» Grandeur et Servitude, p. 167.
Robert Doucet, Commentaires sur la colonisation, 1926, p. 15.
Ebd., p. 54.
«implanter sur ces terres une population française aussi nombreuse que possible, à imprégner fortement nos sujets indigènes de nos idées, de nos sentiments et de notre culture», p. 11. «La Tunisie ne se francise pas parce que nos compatriotes y sont en minorité.», p. 23.
P. 71.
Georges Hardy, Nos grands problèmes coloniaux, 1933, p. 15, p. 146.
Hardy, a.a.O., p. 178.
«Cette conception du progrès dans le cadre original peut donc fort bien s’accorder avec l’assimilation. Ce que la plupart des coloniaux d’aujourd’hui condamnent, c’est l’assimilation brusque et totale, l’assimilation en masse. Mais ils admettent aisément(!) l’assimilation par cas d’espèces — pour les individus qui se sont élevés au niveau de la culture et de la moralité européennes; ils admettent aussi l’assimilation comme fin suprême de la colonisation après une série d’étapes qu’il est dans l’intérêt de tous de ne point brûler. Il semble que, sur ces données, on puisse s’entendre et concilier toutes les aspirations, celles des tuteurs et des pupilles, des colonisateurs et des colonisés.» p. 51.
P. 210.
Ganz ähnlich äußert sich Hardy in seinem bekannten historischen Werk von 1937, «La politique coloniale et le partage de la terre au XIXe et XXe siècle» (Evolution de l’humanité). Es gebe in der Tat «des sociétés pupilles», die sich ihrer Persönlichkeit bewußt geworden seien — z. B. Indien, die Philippinen, der Irak — und die Unabhängigkeit verlangten. Meistens aber blieben die Unabhängigkeitsforderungen an der Oberfläche, auch etwa in Tunesien und Marokko. Die schweren Unruhen von Indochina und Holländisch-Indien bezeichnet Hardy als «troubles graves, mais qui sont restés sans lendemain» ! Im Grunde handle es sich um «crises de croissance et d’accommodation mutuelle», nicht um «signes d’une rupture; il ne manque pas, dans nos pays européens, de provinces qui se sont longuement rebellées contre l’annexion et qui ont fini par se fondre parfaitement dans l’unité nationale.» So ergibt sich denn: «... il ne ressort nullement des faits acquis que la colonisation contemporaine, dans les possessions où domine le peuplement indigène, sente de sol se dérober sous ses pas. Que l’autorité européenne soit par endroits et par moments contestée et combattue, on doit en convenir; mais tout autorise à penser que, sauf catastrophes, elle est loin d’avoir épuisé toutes ses ressources de durée. A s’en tenir strictement au champ d’action coloniale, il est donc difficile d’admettre sérieusement un ‘crépuscule de l’Europe’ ou un ‘déclin de la race blanche’» p. 464 f.
Léon Archimbaud, La plus grande France, 1928, p. 10.
Bezeichnend ist wieder die Parallele zwischen französischem Kolonialreich und Commonwealth: England habe im Völkerbund sechs Stimmen, Frankreich nur eine — «telle inégalité», p. 35. Archimbaud vergleicht die Situation der Eingeborenen in den französischen Kolonien mit derjenigen in den Dominions (Indianer, Maoris u. a.) nicht aber zwischen französisch und britisch Westafrika, Indochina und Malaya usw.
Ebd., p 23. «L’absence de tout esprit de lucre qui présida à l’acquisition de nos colonies... nos guerres coloniales n’ont pas été inspirées par l’appétit du gain, par la volonté d’imposer aux indigènes nos cotonnades ou notre eau-de-vie... Nos expéditions ont toujours(î) eu pour cause soit le massacre...», p. 22.
P. 161.
«Aussi dirai-je sans hésiter que la France doit tirer de ses colonies le maximum de rendement... nos industries... seront moins sensibles aux à-coups de l’économie mondiale», p. 167. Der radikalsozialistische Parteikongreß vom Nov. 1922 in Marseille verlangt in einer Resolution, daß der Gesetzesvorschlag Sarrauts vor das Parlament komme, «considérant que la situation économique et financière de la France commande de nous affranchir, dans toute la mesure où cela se peut du tribut que nous payons à l’étranger pour les matières premières.» Compte-rendu, p. 229.
La plus grande France, p. 48.
P. 91.
Paris Okt. 1927, Compte-rendu, p. 306 f.
Lombarde, der Generalsekretär der Parteiorganisation von Alger, bittet um Rückweisung an die Kommission, wobei er sich natürlich des Argumentes des Personalstatutes bedient, das muselmanischen Abgeordneten erlauben würde, über das französische Eherecht mitzureden. Der Berichterstatter der Kommission entgegnet: im Krieg habe man auch nicht nach der Religion der Eingeborenen gefragt. Ähnlich wiederum 1928 in Angers: die Parteikommission möchte den Eingeborenen eine bessere Vertretung in den lokalen Gremien geben: «L’indigène qui est le principal pourvoyeur de l’impôt doit être admis à surveiller la gestion des impôts», p. 300 f. Der algerische Delegierte Weynn antwortet mit «nous serons noyés... Souvenez-vous que les indigènes musulmans, après cent ans d’occupation, n’ont aucune instruction (Zwischenruf: A qui la faute?), aucune éducation politique.»
P. 112.
P. 186.
Wenige Jahre später konnte Archimbaud dann aber als guter Radikalsozialist rhetorisch ausrufen:«Nous voudrions voir à la Chambre, assis à nos côtés, des députés jaunes et un plus grand nombre de députés noirs; ce jour-là nous aurions dignement continué la politique de 1793 et de celle 1848. «J.O. 31. 1. 1930, p. 324.
Vgl. auch Archimbaud als Rapporteur am 22. 12. 1924: «Vous ne pouvez mettre des dépenses supplémentaires à la charge des colonies. Vous ne pourrez le faire que quand ces colonies auront des chambres délibérantes, quand elles pourront voter et contrôler leur dépenses. Nous restons dans la tradition démocratique française. Lorsque nous sommes arrivés en Indochine, nous avons trouvé des hommes sous la coupe des Chinois et exploités par leurs propres mandarins. Ces hommes ont connu la paix française... Nous les considérons, nous républicains, comme des frères mineurs et demain, lorsqu’ils seront au même stade de civilisation que nous, notre devoir sera de les émanciper. Voilà la tradition de la Révolution française. Le jour, je le répète, où ils seront arrivés au même stade de civilisation que nous, lorsqu’ils auront des assemblées délibérantes, qui voteront le budget, ils s’imposeront les charges qu’il leur plaira.» J. O. Chambre, 22. 12. 1924, p. 4712 f. 133 Congrès National 23.–25. 5. 1931, Compte-Rendu sténographique, 1931, p. 287–427: La Colonisation et les Droits de l’Homme. Vgl. auch Th. Ruyssen, Mitglied des Zentralkommitees, La Colonisation et le Droit, in: Les Cahiers des Droits de l’Homme, 1925, p. 489 f.
Congres National, p. 427.
Les Etats-Unis français, in: Revue de Paris 1. 6. 1930, p. 482.
L’Empire colonial français, 1931, p. 525.
Ein Gleiches gilt auch für E. du Vivier de Steel, Avant la conférence franco-coloniale, in: Revue des deux mondes, l. 9. 1933. Auch hier wird mit den Vereinigten Staaten und Brasilien verglichen und gesagt, daß jede Kolonie «doit devenir un Etat différent dans la conféderation», aber «elle est subordonnée à la francisation de l’âme indigène, à l’établissement, dans nos possessions, d’une plus grande proportion de Français», p. 162.
Ernest Pezet im Namen der Fraktion in der Indochinadebatte vom 27.6.1930, J. O. Chambre, p. 2751 f.
Semaine Sociale de France, Marseille 1930. Compte-rendu des cours et conférences.
Joseph Folliet, Coup de barre, in: Esprit Dez. 1935 (Spezial-Nummer über Kolonisation).
Le Droit de Colonisation, p. 7.
P. 346. Bemerkenswert ein kurzer Aufsatz von Emile Dermenghem, Les catholiques et les abus coloniaux, in: Vie intellectuelle, Nov. 1928. In der Metropole würde man erröten, wenn man richtig orientiert würde; die katholischen Zeitschriften berichteten nicht über die Mißstände. 143 P. 322.
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von Albertini, R. (1966). Assimilation oder Assoziation?. In: Dekolonisation. Beiträge zur Kolonial- und Überseegeschichte, vol 1. VS Verlag für Sozialwissenschaften, Wiesbaden. https://doi.org/10.1007/978-3-322-98922-2_18
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